L’idée, simple, peut être résumée en une phrase : “Nous acquérons des terrains en zones rurales pour les protéger de toutes activités humaines et permettre à la nature sauvage de reprendre ses droits”. C’est ainsi que l’expose le collectif, dénommé Wild Bretagne, sur son site internet.
Car oui, toute plantation d’arbres n’est pas une forêt : c’est une distinction à laquelle les amis tiennent. Moins riche en biodiversité et en espèces de végétation, la plantation attire nécessairement moins d’insectes, qui attirent moins d’animaux… etc.
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